Une grande grande plage…

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L’autre jour nous sommes allés à Samalayuca. C’est l’une des principales attractions touristiques des environs : de grandes dunes de sable fin s’étendant sur une zone de 40 km de longueur. Et c’est aussi la bonne époque : il ne fait pas encore trop chaud. En été, tout ce sable clair fait monter la température à des niveaux vertigineux.
Il faut reconnaître que le paysage est magnifique. Les dunes sont chaque matin vierges de traces de pas ou de roues et les premiers arrivés le matin peuvent se croire être les premiers à traverser la région…

Dunes vierges
Dunes vierges

Les enfants évidemment s’en fichent, même si « casser » la crête de ces dunes trop parfaites devient rapidement un jeu très amusant.

À peine arrivés, déjà une photo? Papa, tu nous laisses jouer?…

On a parfois vraiment l’impression que derrière il y a la mer…

Vous avez lu « Le petit prince » avec illustrations de l’auteur?… Heureusement on n’a pas croisé de serpent (ni de renard).

J’ai longtemps marché, à mille milles de toute terre habitée…

Les dunes, c’est chouette, on peut y jouer des heures et prendre plein de jolies photos!

Ohé !


J’ai voulu partir sur un coup de tête à la conquête du sommet le plus proche.

Est-ce qu’on voit la mer depuis là-haut?

Mais on ne peut pas courir dans le sable et j’ai finalement dû abandonner à mi-chemin, pris par le temps (et la fatigue). Il faudra planifier un peu plus la prochaine fois !

Vainqueur : dune !

Voilà de bien beaux paysages, qui expliquent qu’ils aient servi de toile de fond au tournage du film « Dune ».

Bon, c’est bien beau tout ça, mais ça reste du sable et le sable, ça ne se mange pas… Nous voilà donc en route pour le village où l’on dégustera entre autres de délicieux burritos et quesadillas.

Le jardin de ce restaurant contient une impressionnante collection de perruches multicolores et un banc à côté duquel la pose s’impose :

Que faire l’après-midi ? Et bien on va partir à la recherche des fameux pétroglyphes dont je vous avais déjà parlé dans cet article. Cette fois-ci nous sommes sur place et il n’a pas plu depuis un bon mois. Nous trouvons le panneau indiquant la zone arquéologique à la sortie du village. Nous suivons une piste poussiéreuse sur plusieurs kilomètres.

Vers les pétroglyphes

Au milieu de nulle part, un panneau indique de tourner à gauche pour la zone arquéologique. Euh… À travers les cactus ?… Nous avons essayé 3 pistes différentes mais sans succès. Plus aucune indication par la suite. Nous avons tout de même pu réaliser quelques jolis portraits :

Damnations! Ils m’échappent encore ! Mais je reviendrai et je me vengerai !… Avec un guide conventionné s’il le faut, mais je les trouverai !

Sur le retour, un coucher de soleil de plus à la collection…

Et l’entrée héroïque dans Juárez !

Bienvenus à Ciudad Juárez l’héroïque

Au fait, qui savait que Ciudad Juárez s’appelle ainsi à cause des Français ? J’attends vos propositions d’explication en commentaire ! Et je vous expliquerai tout ça en détail lors d’un prochain billet !

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De jolis dessins… Sans doute…

Oui, je sais, ça faisait longtemps… Je vous avais prévenu, ça dépend des humeurs…

Mais justement je pensais à vous quand on m’a parlé de pétroglyphes à Samalayuca, à une cinquantaine de km au Sud de Juárez. Ça avait l’air intéressant et je me suis dit que je pourrais en tirer un bon article avec quelques jolies photos. Le matin, j’ai été à une partie de paintball qui s’est terminée sous la pluie. Rentré à la maison, j’attendais la fin de la pluie pour pouvoir sortir. Il a plu environ 2 heures en tout.

Enfin, la pluie s’arrête et je me décide à partir. Au début tout allait bien, mais au niveau de l’aéroport, un bouchon immense! Au bout d’1/2h sans presque avancer, je décide d’annuler ma balade et de rentrer. Tant pis pour vous (et pour moi!), pas de pétroglyphes aujourd’hui! Mais pourquoi ce bouchon?

Voici quelques photos prises ce jour-là qui vous donneront une -petite- idée de la situation :

Et bien sûr, là où je suis passé, ce n’était rien à comparaison d’autres endroits que j’ai soigneusement évités. C’est suite à ce genre de climat que l’on comprend pourquoi tout le monde a un 4×4 ici… Maintenant imaginez que vous conduisez dans ces conditions assis sur une pile électrique… L’eau et l’électricité n’ont jamais fait bon ménage… Bien sûr les batteries sont protégées et Nissan a testé son véhicule… Mais l’a-t-il testé à Juárez? 🙂

Après de fortes pluies, certaines rues se transforment en véritables torrents emportant tout sur son passage. C’est ce qui explique apparemment mon embouteillage : des voitures ont été emportées d’une voie secondaire jusqu’au milieu de l’avenue!

Enfin bon, tout s’est bien passé mais je n’ai toujours pas vu les pétroglyphes de Samalayuca. Par contre, le lendemain, je suis allé à Hueco Tanks, côté américain, où là aussi il y a des pétroglyphes anciens… Mais ce sera pour la prochaine fois!

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